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What I have to say about music...

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.I'm into Indie, Indie Rock, Indie Pop, Baroque Harmonic Pop, grunge, Pop Punk, alternative metal, progressive rock (...)
as well as all of the musical expressions BEFORE rap and hip-hop (... yes, before all of that new tragedy they call music in mainstream radio stations).
I loved the '80s, and I miss them, I admit my sin... the '80s gave us his Majesty Thom Yorke; and I also loved the '90s ...they brought to us the incomparable Eddie Vedder and the absolute God of the abyss: Maynard.

Old friends, don't panic!!! I will always be a devoted fan of Jazz, Maria Callas, Ella Fitzgerald, Billie Holiday and all expressions of good music...but never Rap!!!
Help me keep my life "hip-hop-free"
I'm a child of the '70s so, go figure about the rest of the bands, singers and styles I like!!!
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¿Habrá Llegado La Hora? Are We There Yet? Sommes-nous Presque Arrivés?
34 private radio stations
in Venezuela were closed indefinitely and 206 more to be shut down, by the dictatorship of Hugo Chavez. Major loser, Diosdado Cabello, minister of Public Works and Housing said that a "Special Bill Against Media Crimes" was introduced before the National Assembly this week, and “this bill will pass”.
Egomaniac Chavez and his sidekicks have labeled as "terrorists" any papers, radio and TV stations who dare to criticize the government. Those who write, say or express in any form their disagreement with the dictatorship will face incarceration for a minimum of 4 years, according to this new law.
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Trente-quatre médias audiovisuels sacrifiés par caprice gouvernemental
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Reporters sans frontières proteste avec vigueur contre la fermeture massive de médias audiovisuels privés, officiellement pour "raisons administratives". Treize stations de radio, sur un total de trente-quatre médias dont la fermeture a été décidée par le gouvernement, ont d’ores et déjà dû suspendre leurs émissions le 1er août 2009.
"Dans n’importe quel Etat de droit, un média soupçonné d’utiliser irrégulièrement une fréquence aurait été averti au préalable de la procédure engagée contre lui. Ses représentants auraient eu la possibilité de plaider leur cause ou de former un recours. Est-il encore permis d’émettre publiquement la moindre critique envers le gouvernement bolivarien ? Cette fermeture massive de médias réputés d’opposition, dangereuse pour l’avenir du débat démocratique, n’obéit qu’à la volonté gouvernementale de faire taire les voix discordantes, et ne fera qu’aggraver les divisions au sein de la société vénézuélienne", a déclaré Reporters sans frontières.
Le 1er août, le gouvernement a retiré leur concession de fréquence à trente-quatre stations de radio et chaînes de télévision et a fait savoir que 200 autres étaient menacées de subir le même sort. Selon le ministre de tutelle de la Commission nationale des Télécommunications (Conatel), Diosdado Cabello, cette mesure s’explique par des raisons technico-administratives, les propriétaires des médias concernés n’ayant pas pu prouver qu’ils étaient bien les titulaires des licences de diffusion. Cette mesure a entraîné des mouvements de protestation. "Nous assistons au plus important dispositif de restrictions à la liberté d’expression jamais mis en place au Venezuela, sans précédent en période de démocratie", a déclaré Carlos Correa, directeur de l’organisation de défense de la liberté d’expression Espacio Publico.
La fermeture de ces médias intervient au moment où le gouvernement d’Hugo Chavez a annoncé vouloir "démocratiser" le secteur des médias. Le 30 juillet, le procureur général de la République, Luisa Ortega Diaz, a présenté devant l’Assemblée nationale un projet de loi prévoyant de punir sévèrement les auteurs de "délits médiatiques". "Il est nécessaire que l’Etat vénézuélien régule la liberté d’expression, a-t-elle déclaré. Je réclame qu’une limite soit posée à ce droit". Le projet de loi prévoit désormais des peines de prison pour des délits que la Loi de responsabilité sociale en radio et télévision (Loi Resorte) de 2004 sanctionnait déjà d’amendes et de suspensions d’antenne. Elle en instaure également de nouveaux. Ainsi, la divulgation d’une information jugée "fausse", "manipulée" ou "déformée", tout comme les informations qui portent un "préjudice aux intérêts de l’Etat" ou constituent une atteinte à la "morale publique" et la "santé mentale", seront considérées comme un délit médiatique pouvant entraîner une peine maximale de quatreans de prison ferme.Le projet de loi prévoit également de sanctionner "le refus de révéler une information" et le fait "d’omettre volontairement de diffuser une information", remettant ainsi en cause le droit à la protection des sources journalistiques. Ces deux délits sont passibles de six mois à quatre ans de prison.


Les médias touchés par la mesure de fermeture sont : A Caracas : CNB 102.3 FM. A Amazonas : 1130 AM, propriété de Erasmo Núñez, et 107.5 FM Órbita, de Abel Cermeño. A Anzoátegui : la 970 AM, de Barcelona, appartenant à José Bringa. A Bolívar (Upata) : Canal 7 TV, de José David Natera. A Ciudad Bolívar : 96.9 FM, propriété de Ramón Rafael Castro Mata. A Carabobo, Valencia : 100.1 FM, Nelson Belfort Yivirin. A Puerto Cabello : 98.3 FM, de Pedro Ezequiel Listuit. Delta Amacuro-Tucupita : 1270 AM, de Sócrates Hernández. A Falcón Punto Fijo : CNB 100.1 de Nelson Belfort Yivirin, et 96.1 FM, de Ramón Jesús Méndez. A Guárico : 99.1 FM, de Bernando José Donaire. A Mérida : 106.3 FM de Rubén Antonio Chirinos. A Miranda : 1520 AM, de Guillermo Obel Mejías ; Emisora FM, de Guillermo Obel Mejías ; la 1550 AM, de monseñor Bernardo Heredia ; 97.1 FM, monseñor Bernardo Heredia ; 92.1 FM, Gabriel Robinson, Charallave ; 1230 AM, Radio Barlovento (Caucagua) ; 96.9 FM, de Carlos Herci, basée à El Hatillo. A Nueva Esparta (Porlamar) : la 99.1 FM, de Arturo Gil Escala ; 92.9 FM, Ramón Borra Gómez, et 1140 AM, appartenant à la famille de Pedro Sosa Guzmán. A Portuguesa (Acarigua) : 1170 AM, appartenant à Ramón Ramírez Meléndez. A Sucre : 103.3 FM et 600 AM, ambas de Luis Salazar Núñez. A Táchira : la 730 AM, de Modesto Marchena et la 94.5 FM, de Arturo Álvarez Leal. Vargas Canal 26 UHF de Catia La Mar et 106.9 FM, appartenant à Alcides Delgado. Dans l’Etat de Zulia : 105.1 FM, de Guido Briceño ; 102.1 FM, de Luis Guillermo Gouvea ; 1430 AM, appartenant à Ciro Ávila Moreno (Ciudad Ojeda) ; 1300 AM, propriété de Moisés Portillo (Santa Cruz de Mar).
Photo : AFP/Yuri Cortez

...Y en cuanto a lo que sucedió hoy, 3 de Agosto, en GLOBOVISION...es exactamente lo mismo que sucedió en Irán, cuando Mahmoud Ahmadinejad comenzó a gobernar. Ahora todos los periodistas están presos y son torturados por haber contradecido su gobierno. Venezuela se parece cada vez más a Irán (recuerden que "el maldito" y Ahmadinejad son aliados), lean acerca de Irán y podrán ver -inequívocamente- paso a paso, lo que va a suceder en Venezuela (...) si no se hace lo que se tiene que hacer ya.
p.s. No coloco la foto de la puta Lina Ron lanzando la bomba a la sede de Globovisión, porque me da demasiado asco su imagen....más asco que la cara de "el maldito" .

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